Et voici la cité-dortoir où Sweetdreams entasse sans grande distinction 70 % de sa population. Le tableau n'est pas totalement noir cependant : ici, tout le monde se connaît d'une façon ou d'une autre, facilitant les échanges. Les plus chanceux vivraient même dans des bicoques HLM, bien qu'elles soient difficiles à trouver.

Situé à la périphérie du quartier, le long d'une petite départementale, Ce garage automobile a été ouvert récemment. A l'origine, ces locaux appartenaient à une entreprise de vente de véhicules d'occasion mais celle-ci a opté pour déménager dans les quartiers plus riches, laissant alors les lieux à l'abandon. Le garage en lui-même est assez modeste, l'environnement pas forcément joli mais le parking visiteur et le lieu de stockage sont suffisamment grands pour accueillir un bon nombre de véhicules. Plutôt pratique pour dépanner, d'autant plus que les tarifs pratiqués par Astrydd sont largement raisonnables.

Les deux tiers des bars, pubs, tavernes et autres bistrots de Sweetdreams sont curieusement regroupé dans cette rue que l'on surnomme avec une sorte d'affection "l'avenue des soiffards". Pour des raisons évidentes, cette rue si propice aux bars-o-thon est strictement piétonne.

Les plus téméraires trouveront probablement les remèdes à leurs maux dans cette échoppe perdue au fond d'une ruelle d'où sortent les bruits les plus saugrenus. Néanmoins, la promesse d'obtenir des soins para-médicaux-voodoo chamaniques ou du Bluestrike à prix pas top élevé en motive plus d'un.

Ouverte par Ame Kistune, riche amateur d'art voulant mêler les arts dans cet ancien entrepôt, la galerie Kistune offre la surprenante vue d’œuvres exposées par des artistes ''professionnels'' aux côtés de murs laissés à des tagueurs non moins passionnés, chaque part étant prête à défendre la galerie contre les dégradations.